samedi 3 septembre 2011

De la place pour tout le monde... en paix.


Les animaux pissent pour marquer leurs territoires. Ils se battent en cas d'intrusion. Est-on si différent?

Le territoire de l'humain prend plusieurs formes. On peut penser au logement de l'individu, à une rivière traversant une ville, aux frontières (politiques ou culturelles) entre les nations... Chacun de ces territoires se défend. Dans les meilleurs des cas, on s'entend à l'amiable : c'est le bon voisinage. Parfois, on manifeste ou on va devant les tribunaux. Il arrive aussi d'en arriver à la violence : verbale ou physique. C'est malheureux...

J'ai donc envie de parler de cohabitation, de minorités, de colonisation, de résistance, d'ouverture, etc. Est-ce que c'est trop pour un même texte? Pfffffffffffff... Le monde dans lequel on vit est tout simplement complexe et il faut tenter d'expliquer le complexe simplement. Vous me suivez? Anyways...

Le feu est quelque chose de merveilleux : on peut le donner tout en le gardant. C'est pour ça que je ne crois pas aux guerres du feu. Même chose avec notre culture. On peut la partager tout en la gardant (et qu'on le veuille ou non, notre propre culture est elle-même un mélange de cultures). Les gens qui arrivent dans un nouveau pays peuvent en faire autant, en autant qu'on soit ouvert. S'ils ont l'impression qu'on ne leur ouvre pas les portes de notre culture, ils s'enfermeront encore plus fort dans la leur. L'intégration passe donc par l'ouverture.

Et que dire de notre propre culture et de notre propre mode de vie? Dominants ou dominés? Ça dépend d'à qui on le demande. Minoritaire, au niveau de la langue, en Amérique du Nord en tout cas. Écrasante face aux peuples autochtones.

Un jour, j'étais allé voir un spectacle de Sergent Garcìa. Ils avaient dédié une chanson à tous les immigrants, à tous les fils d'immigrants, à tous les petits-fils d'immigrants, arrières petits-fils d'immigrants... bref, à nous tous. (Sauf aux femmes vous direz!? Mais non, chères lectrices, c'est une question de langue française, pas qu'ils vous aient oubliées!) On a eu l'occasion de s'installer sur ce continent, nos ancêtres cherchaient ici une vie meilleure et il y a encore des gens qui désirent la même chose pour leurs enfants, leurs petits-enfants, leurs arriè.......

vendredi 13 mai 2011

Après 5 mois de silence

Eh bien non, chers lecteurs fidèles et infidèles, le gros Ben n'est pas mort! Mais bon, bloguer pour ne rien dire, j'essaie de ne pas trop le faire! On verra si je suis rouillé!
En tant que barbu, je citerai donc le moustachu: "Il est temps de faire des changements positifs!"
Qui dit changements dit déstabilisation, dit réflexion, dit nouvelle direction... un paquet de mots finissant par "ion"...
Même si, chimiquement, un ion est une partie de molécule négative: la chimie ce n'est pas tout dans la vie!
Bon, qu'est-ce que je disais déjà? Ah oui: Changements!
Aujourd'hui je vous invite donc à changer ce que vous voulez changer. La vie est une suite de choix, faites les bons, trompez-vous, foncez, tombez, relevez-vous... mais ne vous laissez surtout pas piéger par le confort d'une routine inconfortable. La vie est faite de petits bonheurs: un coup de main qu'on donne ou qu'on reçoit, un repas partagé, une bonne blague à laquelle personne ne s'attend...
Le Québec s'est dernièrement affirmé dans le changement. On a dit: "un peu d'humanité dans notre monde s'il-vous-plaît". Ceci dit, il ne faut pas s'asseoir en attendant la prochaine élection pour finir par dire que rien n'a changé finalement. Prenons l'occasion en main et changeons notre quotidien pour le mieux. Non? À moins qu'on choisisse de s'asseoir et d'attendre en laissant nos vies entre les mains des politiciens...
À nous de choisir!